samedi 29 août 2009

FRAMBOISES NOIRES ET MÛRES C'EST PAS PAREILLE...

Framboises noires le 23 juillet 2009


Un mois plus tard que les framboise noires les mûres sont prêtes




Comme les mûres sauvages, les framboises noires poussent bien dans les clairières et les espaces dégagés. Semblable à une framboise, la framboise noire est caractérisée par une tige épineuse bleu-vert et des feuilles dont la surface inférieure blanche est piquante. Les framboises noires sont mûres au début du mois de juillet. Elles étaient traditionnellement séchées sur des nattes ou mangées fraîches. Occasionnellement, elles étaient séchées en forme de galettes. Aujourd'hui, les framboises noires sont transformées en confitures ou consommées fraîches.

La mûre sauvage (ronce hispide) pousse près du sol, surtout dans les forêts clairsemées et les clairières. Cependant, on la trouve aussi dans les forêts plus garnies mais bien éclairées. La mûre sauvage se reconnaît par sa nature rampante rappelant la vigne, ses tiges épineuses, et sa couleur gris-bleu. Elle est plus petite que la variété appelée mûre géante de l'Himalaya (ronce discolore), qu'on retrouve maintenant dans plusieurs régions de la vallée du fleuve Fraser. Quand les baies sont mûres, généralement vers la mi-août, elles ont une couleur rouge vif et sont plutôt sucrées. Traditionnellement, ces baies étaient transformées en galettes de fruits mais aujourd'hui on les emploie dans les tartes, gâteaux,crêpes, muffins, gaufres, soufflés et charlottes et on les congèlent.

Les framboises et les mûres sont particulièrement riches en antioxydants, des composés chimiques qui peuvent contribuer à réduire le risque de maladies cardiovasculaires, de certains types de cancers et de maladies liées au vieillissement. Elles sont aussi une bonne source de vitamine C .

La cueillette de ces petits fruits sauvages est tout de même difficile, principalement dû aux ronces qui blessent le cueilleur, il faut donc bien se protéger contre les égratignures...


Grand-mère Cinderella

jeudi 20 août 2009

Vaincre les peurs qui nous empêchent de vivre...

moi sur le pont suspendu



Nos phobies disparaissent-elles pour toujours? je l'espère... j'ai surmonté la mienne...du moins pour le moment...
Celle de la peur irraisonnée des ponts. D'où me vient-elle? je n'en sais rien...de ma presque noyade dans une piscine privée à l'âge de 17 ans? de la mort d'une compagne de classe la veille de Noël (l'auto de ses parents ayant manqué le pont de la rivière manicouagan)?, du fait que mon père m'élevait au bout de ses bras étant bébé???
toute cette anxiété est bien cachée dans mon subconscient...

Puis un jour j'ai décidé que j'en finirait avec cette peur. Pourquoi? Parce que j'en avait assez de toute cette anticipation, de ces plans que j'élaborent pour les éviter, de ces malaises physiques que je ressens lorsque je suis sur un pont,de ces voyages refusés parce que la route peut en être parsemés...

Lentement je me suis désensibiliser à ce stresseur. Je me suis forcer a emprunter les ponts, les petits en premier allant a de plus gros , des courts au plus longs et aux plus hauts et maintenant après quelques années car cela ne se fait pas en un jour j'ai réussi a passer sur le plus long pont suspendu piétonnier au monde celui de Coaticook.

Grand-Mère Cinderella