samedi 9 mai 2009

Hommages aux mamans






Un enfant et sa mère ont des liens forts dès le premier jour. Ils développent une relation presqu'indescriptible puisque tellement intense. Ce sentiment maternel est intouchable et ne meurt jamais. Un cœur de maman est un cœur souvent torturé à l'idée que son petit puisse souffrir, avoir de la peine ou être malade.

Une tête de maman se tourmente souvent... très créative pour imaginer les pires malheurs pour son enfant. Il n'y a d'ailleurs pas d'âge pour cesser de s'inquiéter. Une maman demeure maman jusqu'au jour dernier de sa vie.
Pour toutes ces raisons et bien d'autres encore, la fête des Mères ne devrait pas exister, dans la mesure où nous devrions en prendre soin chaque jour. Mais, il en va autrement. Trop souvent, nous sommes pressés par le temps. Nous en oublions parfois nos racines, l'essentiel. Ce fameux dimanche de mai se veut l'occasion par excellence de dorloter sa mère et de prendre le temps d'avoir une discussion aimante, profonde avec elle. S'il arrive que l'on puisse traîner des blessures, sachons pardonner. Aucun diplôme ne certifie qu'un parent sera parfait. Être mère est un métier qui s'apprend « sur le tas ».

J'ai beau chercher, il n'existe aucun hommage à la hauteur de sa mère. Celle-ci nous aura consacré son corps, son cœur, son âme... sa vie. Merci à toutes ces mères, et particulièrement à la mienne, pour cet amour inconditionnel et précieux qui façonne un être pour toujours.

Bonne fête des Mères!

Article pris de l'infolettre de Minçavi

Cinderella

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